Que faut-il savoir sur le syndrome de glissement ?
Très peu connue du grand public, le syndrome de glissement, est une pathologie qui survient avec plusieurs signes annonciateurs. Cette maladie attaque principalement les personnes âgées. Comment reconnaître ses effets et comment le prévenir. Le point dans la suite de cet article.
Le syndrome de glissement : que faut-il comprendre ?
Ce syndrome ce défini comme le processus de stagnation et de vieillissement envers l’état le plus complet. En effet, éviter syndrome glissement, c’est lutter contre une altération de son état lorsque l’on se s’en faible de jour en jour. Il s’agit d’un suicide inconscient. Ce phénomène affecte une à quatre personnes sur cent dans la couche des patients hospitalisés ayant plus de 70 ans.
Le syndrome de glissement se manifeste par un changement d’attitude brusque chez les personnes du troisième âge. Cela est survie d’une perte de leur autonomie. Toutefois, des sujets bien portants peuvent également perdre brusquement l’envie de vivre. Ils peuvent aussi s’opposer à tous mouvements essentiels pour pouvoir bien vivre. Ce sont là des signes de survenance du syndrome de glissement.
Notons qu’au début le syndrome se manifeste par des troubles non physiques. Cependant, le sujet récent n’est pas capable d’effectuer des gestes utiles dans l’assistance d’un tiers. Des crises d’angoisse peuvent l’accompagner.
Quelles sont les potentielles causes de ce phénomène ?
Les causes de cette pathologie sont d’ordre psychologique et physique. Dans la majorité des cas, après un phénomène tel que la perte d’être cher, souvent un fiancé (e), une maladie grave, une opération chirurgicale, une hospitalisation, une assignation à une maison de retraite mal gérée et qui se passe très mal peut avoir des répercussions sur le sujet.
En effet, lorsque ces phénomènes se produisent et se font un temps assez long avant de bénéficier de soin, le sujet peut contracter le syndrome de glissement. Cela survient en fonction de la capacité de résistance de chaque personne âgée. Les personnes atteintes de troubles cardiaques, de problèmes respiratoires ou ayant des antécédents neuromusculaires sont les plus exposées.